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InterprofessionValhor fête ses 20 ans et nomme son nouveau président

Les nouveaux membres du bureau de Valhor avec, de gauche à droite : Arnaud Crosnier (Vice-président, Pépinières Crosnier), Dominique Laureau ( vice-président, Les Fermes de Gally), Florent Moreau (président), Nicolas Buchoul (vice-président, Groupe Paysage des Graves), Gilles Ravot (trésorier, SBM Company), Michel Audouy (sécrétaire général, paysagiste concepteur) et Yves Moinet (vice-président, Moinet & Fils).
Les nouveaux membres du bureau de Valhor avec, de gauche à droite : Arnaud Crosnier (Vice-président, Pépinières Crosnier), Dominique Laureau ( vice-président, Les Fermes de Gally), Florent Moreau (président), Nicolas Buchoul (vice-président, Groupe Paysage des Graves), Gilles Ravot (trésorier, SBM Company), Michel Audouy (sécrétaire général, paysagiste concepteur) et Yves Moinet (vice-président, Moinet & Fils). (©Alexandre Bourgois / Valhor)

Le 12 novembre à Paris, Catherine Muller a passé le relais de la présidence de Valhor à Florent Moreau, élu à l’unanimité en assemblée générale. Engagé pour un mandat de 3 ans, il est accompagné d’un nouveau bureau exécutif. L’Interprofession a également fêté ses 20 ans en présence de ses anciens présidents et a rendu un hommage appuyé à Jean-Marc Vasse, son délégué général sortant et historique.

L’assemblée générale de Valhor qui se tenait à Paris le 12 novembre dans le 2e arrondissement de Paris, avait une résonance particulière. L’Interprofession française de l’horticulture, de la fleuristerie et du paysage a en effet nommé son nouveau président avec un passage de relais entre l’ancien et le nouveau bureau qui va s’atteler à coordonner ses actions en faveur de la filière dans une période conjoncturelle qui s’annonce tempétueuse pour les entreprises en 2025.  La production végétale française notamment, doit faire face à une inflation des charges d’exploitation et une compétition internationale toujours plus rudes.
L’ancienne présidente Catherine Muller et son équipe sortante laisse dans ce cadre à ses successeurs un bilan économique très sain pour mener à bien les projets et soutenir la filière (voir notre encadré).

Catherine Muller lors de son discours d'ouverture. (©Matériel et Paysage)

 

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