Dans l’actualité sur la pyrale du buis (Le Lien horticole n° 1116, page 12), une erreur s’est glissée. Dans le paragraphe « Deux à quatre­ générations», les amphibiens n’ont pas leur place. Il fallait lire : [...] Comme d’autres chenilles grégaires, les populations larvaires pourraient culminer jusqu’à un certain niveau « plafond », puis régresser progressivement pendant plusieurs années (deux à cinq ans, voire davantage selon les espèces). Ceci en particulier sous l’effet des auxiliaires prédateurs naturels (dont des oiseaux insectivores­ tels que les mésanges), des parasitoïdes oophages de larves­, ainsi que des micro-organismes­ entomopathogènes.