L’Observatoire des villes vertes, mis en place par Hortis et l’Unep, a interrogé les collectivités quant à leur niveau de prise en compte de l’artificialisation des sols. Sur les dix-huit grandes villes qui ont participé, seize déclarent s’être emparées du sujet, souvent en collaboration avec les acteurs privés. Paris a lancé l’initiative « cours Oasis » (notre photo), qui vise une meilleure gestion de l’eau de pluie, en plus d’aménagements plus ludiques pour le bien-être des écoliers. Et Nancy (54) propose un financement des travaux des jardins privés (70 %), si ceux-ci sont visibles depuis l’espace public !