Didier n’a jamais cessé d’investir, aussi bien dans le matériel que dans les plantations, pour maintenir un bon niveau de performance. Autour de lui, les vergers se réduisent comme peau de chagrin. Mais pas question d’être inquiet ou amer, ni misérabiliste. Pour attirer des repreneurs, il faut au contraire « prouver qu’on peut dégager un résultat très correct ». Le reste de sa structure intéressera sûrement des candidats dans les prochaines années.