Une aire d’accueil revient à près de 50 000 euros (dont 25 000 pour la microstation), hors fonctionnement. Les frais sont partagés à parts égales entre la communauté de communes et l’organisme de défense et de gestion (ODG) du kiwi de l’Adour. Ils se répercutent sur les cotisations des adhérents et des agriculteurs : quelques centimes par kilo de kiwis, consentis « car nous avons besoin de main-d’œuvre et ces saisonniers travaillent plutôt bien », selon Jean-Marc Poigt, président de l’ODG.