« Mes confrères et moi, on nous trouve par recommandation ou via la Chambre nationale de la médiation et de la négociation, indique Jean-François Thiriet.

J’ai un contact téléphonique, et je rencontre chacun séparément. Puis j’organise une ou des réunions entre les parties. Pour s’aider à être plus sereins, des groupes d’agriculteurs abordent ces sujets à froid. Les chefs d’entreprise de l’industrie ou des services le font, pourquoi pas les employeurs agricoles ? »