Euphorbia cotinifolia. A Agrocampus Ouest, à Angers (49).
Avec un printemps pluvieux et un été caniculaire, les plantes à massifs n’ont pas trop été à la fête en 2019. Mais certaines ont quand même tenu le coup. La preuve en diaporamas.
Ce 2è diaporama fait partie d’une série de trois sliders* : les deux premiers montrent des plantes qui ont satisfait ou même très bien réussi, le troisième montre quelques plantes ou massifs qui ont déçu.
Ces diaporamas complètent :
. le dossier « « Plantes à massifs à l’épreuve du terrain et de la chaleur », dans le Lien horticole « print » n°1090 de novembre 2019 ;
. le tableau récapitulatif (téléchargeable en format PDF) avec commentaires étayés de nos contributeurs (écoles, villes, stations d’essais, experts indépendants).
Merci à nos 9 contributeurs pour leurs appréciations et argumentaires sur les comportements variétaux en cette saison estivale 2019.
Euphorbia cotinifolia. A Agrocampus Ouest, à Angers (49). Petunia x hybrida TIDAL WAVE® Red Velours. Aux jardins du Pflixbourg, à Wintzenheim (68). Rudbeckia triloba ‘?Prairie Glow’. Sur le site de l’Ecole Du Breuil, dans le bois de Vincennes - à Paris (75). Scaevola aemula ‘?Purple Haze’. A l’Astredhor AURA - Ratho, à Brindas (69). Setaria palmifolia. A Agrocampus Ouest, à Angers (49). Verbena rigida ‘?Polaris’. A Agrocampus Ouest, à Angers (49). Zea mays ‘?Field of dream’. Sur le site de l’Ecole Du Breuil, dans le bois de Vincennes - à Paris (75). Zinnia ZESTY TM mélange. A l’Arexhor Est Horticole, à Roville-aux-Chênes (88). Zinnia ZESTY TM Purple. A Agrocampus Ouest, à Angers (49). Incontournable de tous les villages alsaciens : la pyramide de géraniums lierres, valeur sûre même en cas de sécheresse et de canicule. Ici associée à de la misère violette et de l’ipomée. Aux jardins du Pflixbourg, à Wintzenheim (68).