L’association mobilise les bonnes volontés de représentants de l’Unep (entrepreneurs du paysage), de la FFP (concepteurs­ paysagistes), de la FNPHP (productions horti­coles), du commerce (pas encore complètement), des écoles, ainsi que des associations d’éducation à l’environnement et des réseaux de jardins collectifs... sans oublier de nombreux fournisseurs.

. Elle veut contribuer à réconcilier les mondes de la production et du commerce : « Quand on se parle, qu’on fait ensemble, on arrange beaucoup de choses­ et on estompe les incompréhensions­. »