Certains massifs forestiers, comme la forêt de Bouconne (le poumon vert toulousain), subissent le fort appétit des chenilles. Très rapidement les arbres sont défeuillés et prennent un aspect de forêt hivernale. Heureusement ces chenilles — contrairement à ses cousines les processionnaires du pin ou du chêne — ne sont pas urticantes. Pas d’inquiétude pour les arbres, ils effectueront une seconde pousse en août. La situation dans un jardin sera appréhendée différemment et pourra, sur un fort niveau d’infestation et des dégâts importants, justifier un traitement.