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Gérer Suivi individuel et autorisation de conduite : changements depuis le 1er octobre

Toute une palette d'équipements et d'engins de chantier nécessite une autorisation de conduite...

Préoccupation constante pour les employeurs, la conduite de certains équipements de travail est subordonnée à l’obtention d’une autorisation de conduite délivrée par le chef d’entreprise. Une évolution concerne les salariés bénéficiant d’un suivi médical individuel renforcé.

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Le sujet des autorisations de conduite fait partie des demandes d’information qui remontent dans les questions des adhérents de Verdir et Unep respectivement via JuriService et PayService*.
Il concerne à la fois les producteurs et les acteurs du paysage, mais aussi les travailleurs soumis à une habilitation électrique.

Quels équipements concernés ?

Toute une palette d’équipements nécessite une autorisation de conduite : grues à tour, grues mobiles et grues auxiliaires de chargement de véhicules, chariots automoteurs de manutention à conducteurs portés, plateformes élévatrices de personnes, engins de chantier télécommandés ou à conducteur...

Quels engins de chantier concernés ?

Parmi les engins de chantier figurent les minipelle, motobasculeur, tracteur à chenilles, tracteur agricole (recommandée)…

Qui délivre cette autorisation ?

C’est l’employeur... sur la base d’une évaluation reposant sur trois éléments :
– l’aptitude médicale du salarié (examen réalisé par le médecin du travail) ;
– les connaissances théoriques et le savoir-faire (CACES...), après vérification que l’évaluation a été faite par un organisme de formation agréé, ou en interne ;
– la connaissance des lieux et des consignes à respecter.

* Cette rubrique relève des situations retenues par JuriService et PayService, via des permanences téléphoniques par des avocats spécialisés en droit social, fiscal et des sociétés. Contact : 04 72 53 72 30 – dcervoni@kpmgavocats.fr

Pour en savoir plus : « Inaptidude : l’avis de la médecine du travail a prévalu » (Le Lien horticole n° 1142 de janvier-février 2025), et « Arrêt de travail et licenciement : attention à la preuve de la faute grave » (Le Lien horticole n° 1146 de juin 2025).

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