La transaction, d'un montant de 700 millions d'euros, prévoyait le transfert de l’usine belge d’Anvers et des 50 % de participation de BASF dans la joint-venture française PEC-Rhin dans le portefeuille du russe. Mais GPN, actionnaire de l’autre moitié de PEC-Rhin, a décidé le 25 novembre d’exercer son droit de préemption pour acquérir les parts du géant allemand.
Il devrait ensuite revendre l’ensemble à Boréalis, qui a déjà fait une offre. Les comités centraux d’entreprise de GPN et de PEC-Rhin ont donné un avis favorable au projet fin novembre. Affaire à suivre…
BASFVente mouvementée de la branche engrais
Ils étaient trois en compétition pour le rachat de l'activité engrais de l'Allemand BASF : l'Égyptien Orascom Construction Industries, le Norvégien Yara International ASA et le Russe EuroChem. Après des mois de tractations, l'accord s'est finalement conclu le 27 septembre avec EuroChem.